A l’heure où beaucoup d’indicateurs sont au rouge, à l’heure où les experts indiquent qu’il ne reste que peu de temps pour tout changer, car il faut tout changer ! Que devons-nous faire ?
Certain.e.s se battent encore ici-bas, comme moi, mais ne faudrait-il pas mieux concentrer nos efforts sur une échappatoire, une possibilité lointaine de tout recommencer ? Merci à ce Sympétrum strié (Sympetrum striolatum) de s’être prêté au jeu de la photographie.
Aujourd’hui, je voulais vous présenter ce Damier des près (Mellicta Parthenoides) délicatement posé dans le Soleil couchant et attendant la nuit et […]
Bonjour, bonjour, cher ami Damier ! Merci beaucoup de ne pas te laisser prier. Je m’agenouille devant toi, ami papillon, Certes, la […]
Le printemps est là, c’est officiel. Les petites bébêtes vont revenir comme le Syrphe ceinturé (Episyrphus balteatus) que nous allons retrouver partout. […]
Il est terrible le destin pour ce Sympétrum strié (Sympetrum striolatum) comme pour tous les êtres vivants de cette belle planète. Nous […]
2 commentaires sur “Interstellar”
une bien belle photo pour illustrer un questionnement essentiel, et qui me taraude aussi. alors je me bats avec mes petits moyens, et je retournerai vendredi prochain pour réclamer des coquelicots, je serai par la pensée le lendemain (cause boulot) à la marche pour le climat, et à aider même petitement pour que les règles changent, et que la politique change à Bruxelles. Sans compter les petits gestes de tous les jours, que je ne peux même plus envisager de ne plus faire! Notre planète est trop belle, nos cousins d’évolution, plantes et animaux terrestres et marins, méritent qu’on les respecte davantage, qu’enfin nous autres homo pas si sapiens prenions une bonne baffe d’humilité à travers la figure, histoire de nous remettre les idées en place et cesser, toutes affaires tenantes, d’utiliser notre intelligence à nos dépends. Il va falloir faire sacrément pression sur nos « zélus », surtout ceux qui ont depuis un bon moment oublié ce que « intérêt général » veut dire.
Mais ne perdons pas non plus, dans cette lutte pour la vie, notre capacité de rêve et d’émerveillement, elle doit être un moteur pour ne pas flancher, quand bien même elle se teinte d’inquiétude, chez celles et ceux d’entre nous qui avons pris conscience du désastre à venir si nous ne nous bougeons pas.
Un en mot comme en cent : merci 🙂